Le vendredi 15 novembre à 19h au Cercle "les Sabotiers" à Awenne

Jambonneau grillé béarnaise et ses accompagnements

Dessert

Gratuit jusque 6 ans inclus (pain-saucisse-dessert)

8 € pour les 7-14 ans (2 saucisses-accompagnements-dessert)

15 € dès 15 ans (jambonneau grillé-accompagnements-dessert)

Inscriptions pour le 12 novembre au plus tard au 084/36.65.82 ou au 0479/90.19.38 ou par mail thierry.folie@hotmail.com

Venez nombreux !

Même si l'on est conscient de la difficulté pour les pouvoirs publics d'entretenir les routes, il faut cependant noter que dans certains cas, les dégradations de la chaussée sont de vrais dangers pour les utilisateurs !

Rue des Gueux à Saint-Hubert

Peut-on imaginer un seul instant qu'aucun responsable communal ne passe à cet endroit ?

Peut-on imaginer qu'il faille systématiquement une intervention du citoyen pour signaler ce type de dégradation ?

Si tel est le cas, ne faut-il pas mettre en place un système structuré afin de permettre aux citoyens de renseigner facilement ce genre de dommage ?

A méditer !

 Bonne chance à tous !

Inculpé dans l’affaire du meurtre de Hugues Henneaux, Alain Lepée juge que les propos tenus par son ex-épouse dans notre journal la semaine dernière sont à relativiser. Point après point, il a tenu à répondre à ces accusations. Et à livrer son état d’esprit actuel.

Dans l'édition de La Meuse du 22 novembre dernier, SUDPRESSE proposait le fruit d’un long entretien avec l’ex-épouse d’Alain Lepée, inculpé de recel de cadavre et de vol de voiture dans le cadre du meurtre de Hugues Henneaux. Celle-ci nous parlait notamment de violences conjugales, de négligences diverses et de la propension d’Alain Lepée à manipuler son entourage.

Pour ce dernier, la réalité est toutefois différente. Comme son ex-épouse, il veut donc témoigner avec la volonté de protéger ses enfants. La vérité sur ce qui s’est passé dans ce couple est donc sans doute à trouver quelque part entre ces deux déclarations...

Alain Lepée nous reçoit chez lui, casquette sur la tête et barbe de quelques jours sur le visage. «Je ne veux pas qu’on me reconnaisse quand je sors», souffle-t-il. D’emblée, il tient à revenir sur sa supposée violence au sein du couple qu’il formait avec son ex-épouse. « Je n’ai jamais nié lui avoir porté des coups. Je n’aurais jamais dû le faire, mais quand on prend une, deux ou trois baffes, on réplique à la quatrième. C’était une erreur, mais tout le monde a ses limites.» Quant à l’épisode où il aurait menacé son épouse d’un couteau, avant que la police ne les sépare, il serait également très différent de ce que nous a expliqué son ex-épouse. « Dans sa propre déposition à la police, elle explique que c’est moi qui menaçait de me trancher la gorge si elle partait avec les enfants (nous avons pu consulter ce document, ce sont en effet les termes utilisés par l’ex-épouse, NDLR). J’ai essayé de me suicider, j’ai encore les cicatrices sur le bras. C’était aussi un erreur. Mais à cette époque, je préférais mourir plutôt que de la voir partir avec les enfants. Ils sont tout ce qu’il me reste. Mes enfants, c’est mon trésor. Et c’est aussi pour ça que je n’attenterai plus jamais à ma propre vie.»

Sans parler de l’affaire de meurtre dans laquelle il est impliqué, Alain Lepée se dit tout de même  inquiet. «Bien sûr, cela me fait peur de retourner en prison. La dernière fois, ça ne s’était pas très bien passé... Je dois être honnête: il m’arrive souvent de broyer du noir. C’est ma nouvelle compagne et mes enfants qui me font tenir le coup.»

Source Sudinfo

Un sujet d'actualité pour cette nouvelle conférence de l'UTA !

"La pauvreté: mieux la connaître, mieux la combattre" par Philippe DEFEYT

Rendez-vous à 15h, le vendredi 8 novembre, au Palais Abbatial de Saint-Hubert

Engouement pour les vacances, chiffre record de l’épargne, hausse des immatriculations… autant d’indicateurs d’une prospérité certaine ou d’une certaine prospérité qui ne peut faire oublier la pauvreté d’une frange importante de la population, de 15 à 20% selon les sources. Pour évoquer cette problématique, l’UTA reçoit Philippe Defeyt , économiste à l’Institut pour un Développement Durable, membre d’Ecolo, président du Centre Public de l’Action sociale de Namur depuis 2006. Le CPAS de la capitale wallonne dispose d’une dotation de 15,6 millions d’€, un chiffre qui traduit l’ampleur des problèmes à traiter. La sociologie de la personne aidée est en pleine mutation tant l’aide sociale concerne de plus en plus de nouvelles tranches d’âge, les 25 – 30 ans notamment, confrontées au phénomène de l’endettement structurel… Analyser les causes de cette pauvreté constitue un préalable à toute action pour la combattre…

Entrée (pour les non-abonnés): 4 €