Voici donc les explications concernant les décorations en façade du dernier "Ki cé cé où" et c'est bien sûr Emile Pecheur qui nous raconte cela :
"C'est lors de la reconstruction de cette maison, après la "bombe volante" (voir cet album sur mon Facebook) que le propriétaire, Constant Braipson, originaire de Messancy, a "imprimé" le traditionnel cerf à la croix. De l'autre côté du fronton de cette maison, c'est un dessin rappelant la bombe volante et la date de la destruction en chiffres romains".