A Saint-Hubert comme dans d’autres communes dans la province (voir ci-contre), la place manque pour accueillir des candidats réfugiés. C’est sans hésiter que les bénédictines du monastère d’Hurtebise ont donc pris contact avec le bourgmestre borquin pour lui signifier qu’elles étaient prêtes à ouvrir les portes du monastère pour offrir l’hospitalité aux migrants. Et qu’elles restaient disponibles pour toute demande émanant de Fedasil, de la commune ou du CPAS.
« Elles m’ont expliqué vouloir les aider et faire quelque chose pour eux. Même si l’accueil qu’elles pourront proposer est limité », commente Jean-Luc Henneaux. Le monastère accueille en effet régulièrement des groupes en retraite. Les sœurs avaient déjà accueillis des réfugiés il y a quelques années à la demande de Fedasil.
Extrait de "la Meuse Luxembourg" du 15/9/2015. Lire le reportage complet dans La Meuse Luxemboug de ce jour.