Toutes les activités programmées en 2013 par l’ASBL Air-Loisirs sur l’aérodrome de Saint-Hubert auront lieu y compris la journée Bol d’Air du 14 juillet 2013 tournée vers les PMR, déficients sensoriels et mentaux. Tel est le message lancé par José Robert, le président de l’ASBL. « Du fait de recours contre le projet Idelux par quatre personnes, il a été fait état dans la presse de la possible fermeture imminente de l’aérodrome de Saint-Hubert. Il n’en est rien. Air-Loisirs ASBL a toujours eu confiance dans le projet d’Idelux, de la ville de Saint-Hubert et de ses partenaires. À l’heure actuelle, nous rééditions notre confiance en leurs projets. Nous ne cautionnons en rien le recours introduit par ces quatre personnes, nullement représentatives des opérateurs de l’aérodrome et espérons que le bon sens l’emportera ». La minorité communale Plus +, de son côté, « demande au pouvoir communal d’adopter clairement une position de soutien au déploiement économique de l’aérodrome de Saint-Hubert. Nous appelons donc à une relance de la concertation des parties en présence avec la ferme volonté d’aboutir à un accord servant l’intérêt général. À défaut, nous risquons le crash économique ».

Une nouvelle blogueuse à Saint Hubert

Communiqué de presse

Il n’est pas trop tard, mais il est temps !

Les informations diffusées samedi matin sur les ondes de la RTBF (Une) et dans certains journaux (Libre Belgique, L’Avenir du Luxembourg) confirment les craintes déjà exprimées par notre groupe au conseil communal.

Lors des séances du 28 janvier et du 28 février les conseillers Roland Guillaume et Séverine Pierret ont averti de la dégradation de la situation. Ils ont souligné l’importance du dossier et ils ont demandé au pouvoir communal d’adopter clairement une position de soutien au déploiement économique de l’aérodrome de Saint-Hubert.
Nous constatons aujourd’hui que le danger de fermeture se précise.

Nous réclamons une réaction énergique de toutes les forces vives de la commune et des institutions et groupes concernés par cette affaire pour sortir de ce qui ressemble de plus en plus à une impasse.

Il y va de l’intérêt de tous.

Nous appelons donc à une relance de la concertation des parties en présence avec la ferme volonté d’aboutir à un accord servant l’intérêt général.

Le temps est venu de la ténacité et de la bonne volonté. Le temps des affrontements d’ego doit passer. La méthode des conciliateurs sociaux montre que les affrontements peuvent déboucher sur des solutions.

Nous voulons bien admettre que chacun s’estime dans son bon droit. Nous donnons acte au Collège des efforts fournis pour organiser un dialogue.

Mais nous voyons aussi que, faute d’un accord, nous serons frappés par un crash économique avec des répercussions sociales. Pire, nous manquerons une opportunité d’assurer un avenir à notre commune.
Pour notre part, dans l’intérêt de nos concitoyens, nous continuerons à faire un maximum pour que le bon sens et le souci du bien commun aient leur chance. Mais nous déclinons toute responsabilité dans le cas où la course vers la catastrophe aboutirait. Nos concitoyens en seront juges.