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Administration communale - Page 24

  • Justice de paix: fermeture à Saint-Hubert, maintien à Bastogne et Neufchâteau

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    Mauvaise nouvelle pour la cité borquine : le ministre fédéral de la Justice Koen Geens a confirmé ce mercredi au bourgmestre borquin Jean-Luc Hennaux la fermeture de la justice de paix de Saint-Hubert. Cette fermeture intervient dans le cadre du Plan Justice lancé en 2015 destiné à réformer la Justice dans notre pays.

    Voilà ce qu'il en dit :

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  • Portes ouvertes à la nouvelle crèche de Saint-Hubert

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    Le samedi 18 mars 2016, portes ouvertes à la nouvelle crèche de Saint-Hubert.

  • Grippe aviaire : mesures obligatoires.

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    COMMUNIQUE  DU BOURGMESTRE DE SAINT-HUBERT

    GRIPPE AVIAIRE : MESURES OBLIGATOIRES AU 1er FEVRIER 2017 

    En application des décisions prises par l’Agence Fédérale pour la Sécurité de la Chaîne Alimentaire, je vous informe des mesures à respecter dès le 1er février 2017 par toutes personnes détenant des volailles ou des oiseaux

    En effet, les premiers oiseaux migrateurs arrivent dans notre pays et la propagation du virus de la grippe aviaire est réelle.

    ATTENTION NE PAS CONFONDRE VOLAILLES ET OISEAUX 

    Volailles : poules, dindes, pintades, canards, oies, cailles, oiseaux coureurs (ratites), cygnes, pigeons de chair, faisans, perdrix, … ou autres oiseaux aquatiques élevés ou détenus en captivité dans le but d’agrément ou d’ornement, en vue de leur reproduction, en vue de la production de viande ou d’œufs de consommation.

    Oiseaux : tous oiseaux détenus en captivité (pigeons voyageurs, rapaces, oiseaux exotiques, oiseaux indigènes bagués, …) qui ne tombent pas sous la définition de la catégorie précédente.

    Les mesures obligatoires applicables à tout le pays sont les suivantes :

    Le confinement des volailles tant pour les particuliers que les professionnels afin d’éviter le contact avec les oiseaux sauvages, dès le 1er février 2017.

    En pratique, les volailles laissées à l’extérieur doivent être détenues dans un terrain fermé au-dessus et sur les côtés avec des tôles métalliques ou des filets (mailles max 10 cm).  Une protection imperméable du toit est recommandée.

    Il est aussi interdit de nourrir et d’abreuver les volailles en plein air, sauf sous les filets. 

    Le confinement des oiseaux : les détenteurs d’oiseaux (pigeons voyageurs, …) devront également les confiner. 

    Il est aussi interdit de nourrir et d’abreuver les oiseaux en plein air, sauf sous filets.

    Une interdiction de rassemblements d’oiseaux et de volailles et de ventes d’oiseaux et de volailles sur les marchés publics est d’application.

    Enfin, l’AFSCA demande aux détenteurs de volailles de s’identifier auprès de la commune et de communiquer le nombre de volailles en leur possession en vue d’une gestion plus efficace en cas de grippe aviaire dans notre pays, que ce soit dans le cheptel domestique ou dans la faune sauvage et pour éviter de perdre plusieurs jours au moment où la maladie sera constatée.

    Conscient des difficultés occasionnées par les différentes mesures reprises ci-dessus, je vous invite à visiter les sites de l’AFSCA : www.afsca.be ou à téléphoner au n° vert 0800/13.550.

     

                                                                      Fait à Saint-Hubert, le 01 février 2017 

     

                                                                                                   Le Bourgmestre, 

     

                                                                                                               J.L. HENNEAUX

  • Mise à la retraite à la Commune de Saint-Hubert

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    Lors des vœux de Nouvel An de l’Administration communale de Saint-Hubert, quatre personnes ont été admises à la retraite, voici leur carrière résumée par André Adam, pour le premier et Jean-Luc Henneaux pour les trois autres.

    Henri Lierneux

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    Henri Lierneux obtient son diplôme d’Auxiliaire Social à l’Institut Cardijn de Louvain-la-Neuve en juin 1974.

    Contrairement aux idées reçues il n’a pas exercé toute sa carrière dans la commune de Saint-Hubert, en effet il a presté comme éducateur social à l’institut médico-psychiatrique du Val d’Aisne à Erezée du 1er août 1974 au 31 août 1975 et comme surveillant-éducateur à l’École Moyenne de l’État de Vaux-Chavanne du 1er septembre 1975 au 30 juin 1976.

    Il débute sa carrière d’Assistant Social au CPAS de Saint-Hubert le 1er septembre 1977, il n’a donc pas connu la Commission d’Assistance Publique puisqu’avec la loi organique de 1976, les CAP sont devenues les Centres Publics d’Aide Sociale. Il y aura connu de nombreux conseillers et présidents… je ne vais pas les citer, de peur d’en oublier. Dans les bureaux situés à côté du home Herman, les assistants sociaux ont bien chaud puisque sous leurs bureaux du premier sont élevés quelques cochons nourris notamment des déchets de la maison de repos.

    C’est pendant cette période qu’Henri entreprend avec succès une Licence en Sciences politiques, économiques et sociales.

     À la date du premier janvier 1995 Henri devient secrétaire et coordinateur pédagogique à mi-temps de DEFITS, Association chapitre XII (où le CPAS de Saint-Hubert est partenaire avec ceux de Libin, Tellin et Wellin). Il en a côtoyé des stagiaires, là non plus, je ne vais pas tous les citer.

     Depuis le premier avril 2009, Henri est mis à disposition de la Commune en qualité de chef de Projet du Plan de Cohésion sociale à mi-temps, il ne preste donc plus pour le CPAS à cette occasion.

    Au premier août 2016 sonne l’heure de la retraite. Retraite, pas tout à fait, car Henri preste encore deux demi-journées par semaine à DEFITS pour écoler son successeur et partager son énorme carnet d’adresses.

    Michel Laurent

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    Michel Laurent entre à la commune de Saint-Hubert le 13 décembre 1979. C’était du temps du Bourgmestre CALOZET et du Secrétaire communal Auguste PONCELET. Il va progresser au sein des services communaux : sous-chef de bureau en 1991, chef de bureau administratif le 8 avril 1997 et, enfin, chef de bureau administratif avec échelle A1 (universitaire) le 15 avril 2014.

    Jean-Luc Henneaux cite trois mots pour le résumer : « Perfectionniste, rigoureux et soigneux. Trois qualités dont a pu bénéficier notre service pendant près de quarante années. Et ce travail vous l’avez toujours fait en équipe, dans le respect de vos Collègues, qui vous le rendaient bien. Car peu auraient osé aller à l’encontre de vos avis et, on peut le dire, de votre autorité. »

    Quand on lui demandait ce qu’il a retenu de sa carrière à la Commune, il répond : « les excellentes relations avec les Collègues, mais aussi les Bourgmestres et les Échevins ».

    Bonne retraite, Michel.

    Michel Fagnant

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    Michel Fagnant est né à Les Tailles, Commune de Houffalize et y a vécu six ans, jusqu’au moment où son papa instituteur a été nommé à Odeigne (Commune de Manhay).   Et oui, la vocation familiale était bien présente et le chemin de Michel s’est naturellement tracé : il sera instituteur.

    Après ses primaires, Michel poursuit ses études au petit séminaire à Bastogne en latin-math. Il fera ensuite les études d’instituteur à Carlsbourg de 1974 à 1976 et sera diplômé le 30 juin 1976.

    Il intègre l’école communale d’Awenne en septembre 1976. Il va suivre une remarquable carrière d’instituteur pendant 39 ans à Awenne, devenant chef d’école dès 1979.

    Il a connu les grandes années avec je pense trois classes en primaire et deux en maternelle. Il a aussi été le moteur de la rénovation de l’école, ce dont le village peut être particulièrement fier.

    Danielle Pirnay

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    Danielle Pirnay est née le 7 octobre 1959 à Rocourt.

    Elle a fait ses humanités économiques à l’Athénée de Saint-Hubert et a été diplômée le 30 juin 1977.

    Elle est entrée à la Commune de Saint-Hubert le 12 décembre 1978 (contrat de 40 heures semaine) et sera nommée rédacteur par le Conseil communal le 12 septembre 1980. Le Bourgmestre de l’époque était son concitoyen Raymond CALOZET.

    Soucieuse de perfectionner sa formation elle s’est rapidement inscrite aux cours de sciences administratives de la province de Luxembourg pour être diplômée avec grande distinction le 13 juin 1985.

    Elle est nommée chef de service administratif le 16 novembre 1998. Jean-Bernard GARRAUX était alors Bourgmestre. Elle est devenue l’un des piliers de l’administration, avec Marc Hotton et Michel Laurent.

    Sa carrière à l’administration communale de Saint-Hubert se fera dans différents services : comptabilité (les deux Danielle/Danièle), travaux, enseignement. Elle connaissait aussi les matières de l’État Civil Population. Ses Collègues retiennent d’elle une grande méticulosité, une capacité de synthèse et de travail très importante. Quand Danielle prenait un dossier, il était ficelé et seule la signature de la Secrétaire Communale et du Bourgmestre manquaient encore.

    Confrontée malheureusement à des problèmes de santé, elle a été admise à la pension le 1er septembre 2016.

    S'en suivit le verre de l'amitié et un repas, puis un karakoké.

    Cliquez ici pour voir l'album photo de la soirée.

     

     

  • Voeux de Jean-Luc Henneaux, bourgmestre de Saint-Hubert

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    01-jeanluc-henneaux.jpgIl y a maintenant plus de quatre ans que vous avez massivement plébiscité l’équipe Cap 2012 pour amorcer le changement dont notre Commune avait tellement besoin.
     
    Depuis, nous n’avons cessé de mettre en oeuvre le programme complet que nous vous avons proposé. Contact après contact et réunion après réunion, l’avenir de notre Commune se construit avec des projets concrets : maison médicale, crèche, rénovations rurale et urbaine, amélioration des infrastructures scolaires, restauration de la basilique, lotissements…
     
    Le travail fut dur, mais notre satisfaction est d’autant plus grande de voir les projets devenir réalité. On peut raisonnablement considérer que quatre-vingts pourcents de notre programme est aujourd’hui engagé.
     
    Bien sûr, nous sommes aussi confrontés à certaines critiques. Quand elles sont constructives, nous les entendons et les intégrons pour améliorer le fonctionnement de la Commune et nos projets. Et quand de nouveaux obstacles se dressent, nous nous concertons, remettons le travail sur le métier, continuons avec pour seul objectif d’améliorer l’infrastructure et les services à la population en refusant d’entrer dans les polémiques stériles. Et cela marche!
     
    J’ose écrire qu’il y a un véritable esprit Cap qui s’est imposé dans la gestion communale. Être Cap, c’est traiter les dossiers avec un esprit constructif, un mode de fonctionnement positif, attentif à toutes et tous. Quand au fil des rencontres, vous nous dites «vous savez, je suis Cap », nous y puisons un surcroît de motivation pour rencontrer vos attentes ! Au-delà des élus vous, citoyens, êtes de plus en plus nombreux à partager cette volonté d’avancer. Je m’en réjouis.
     
    En tournant la page 2016, avec les élus, les amis et sympathisants de Cap, je vous souhaite plein de projets. Rien n’est impossible quand on allie volonté et travail!
     
    Qu’une excellente santé vous accompagne toutes et tous pour faire de 2017 une BONNE ANNEE !
     
    Jean-Luc Henneaux, Bourgmestre.