Ce vendredi 21 février, dans le cadre des Conférences de l'UTA, Marie-Thérèse et Serge MATHIEU viendront vous faire découvrir la Corse.

Les dieux auraient pu s’y installer en villégiature car la Corse est fille de la « mère » Méditerranée …  

Dans ce pays, rien n’est rationnel : ni le relief, ni le climat, ni les passions, ni les maisons accrochées à la montagne ou isolées dans le maquis, cette Corse profonde des fontaines au bord des routes, des cochons sauvages… Durant les longs hivers, on fabrique, loin de l’agitation estivale, la coppa, le figatellu et la farine de châtaigne… En été, l’insularité, le climat, la citadelle de Calvi, le village médiéval de Sartène, les sites préhistoriques de Filitosa constituent autant de facteurs d’attractivité de l’Ile de Beauté. 

Autre face de l’insularité, la Corse figure parmi les trois régions de France les plus faibles au niveau du PIB par habitant.

Rendez-vous à 15h au Palais Abbatial de Saint-Hubert

L’hiver particulièrement pluvieux que nous avons connu n’est pas sans conséquence pour les exploitants forestiers. Depuis quelques jours, certaines parcelles boisées sont interdites aux engins de débardage chez nous. Leur passage sur des sols détrempés aurait en effet des conséquences écologiques et économiques désastreuses. Pour certains, c’est là l’occasion de réutiliser le cheval de trait...

Les promeneurs occasionnels le savent : les chemins de terre qui sillonnent nos forêts sont parfois en piteux état après le passage des engins destinés à débarder et à sortir du bois les grumes fraîchement découpées.

Avec l’hiver particulièrement humide que nous avons connu cette année, la situation est d’autant plus critique. C’est pourquoi le DNF (Département Nature et Forêt) a décidé d’interdire l’accès des forêts aux engins d’exploitation. Les dégradations occasionnées aux chemins forestiers étaient en effet devenues trop importantes.

Une nécessité économique

« C’est une nécessité non seulement au point de vue écologique, mais aussi économique », nous explique un responsable du DNF. « Si on « casse » le sol, la forêt a des difficultés à se régénérer, et l’exploitation forestière en prend un coup. Il fallait donc prendre une décision. »

Cela dit, la mesure n’est ni générale, ni particulièrement exceptionnelle. « Il y a presque chaque année une suspension de l’exploitation mécanique », poursuit notre interlocuteur au DNF. « Mais les interdictions sont ciblées en fonction du type et de l’état du sol. Les suspensions sont par exemple plus courantes dans l’est du pays : les sols hydromorphes posent en effet plus de problèmes qu’ailleurs.»

Source: SUD PRESSE

La vallée des anomalies à Bras est un lieu méconnu de la plupart des Libramontois. Pourtant, l’endroit renferme des vestiges archéologiques, des anomalies magnétiques et une richesse botanique exceptionnels. Mais le lieu devrait bientôt être cédé à un privé. Ce qui provoque quelques inquiétudes chez certains.

La commune de Libramont, dans le cadre d’un remembrement de ses propriétés forestières, compte échanger cette zone à un privé contre des parcelles attenantes aux propriétés forestières communales. Un échange qui inquiète Francis Rosillon, guide nature, qui craint que l’endroit ne soit plus accessible à l’avenir. « Ce patrimoine exceptionnel doit rester public », martèle-t-il. « La vallée des anomalies abrite un affleurement rocheux qui date de plus de 500 millions d’années. Il n’y a que quatre endroits en Belgique qui comptent de telles roches  », explique le guide nature.

L’endroit est aussi le théâtre d’un phénomène magnétique particulier : on y observe près d’un quart des variations magnétiques en Belgique. Mais pas d’explication magique… Ces anomalies sont en fait provoquées par une importante masse de sulfure de fer qui se trouve à proximité de l’affleurement rocheux.

La vallée renferme aussi près d’une centaine de tertres d’orpaillages, vestiges des recherches menées par les Celtes pour trouver de l’or dans le ruisseau tout proche.

Source: Sudpresse

La cinquième édition du festival artistique Mai’li Mai’lo a été présentée hier, à Arlon, par le Député provincial à la Culture, Patrick Adam.

L’événement aura lieu à Saint-Hubert du 31 mai au 1er juin 2014. Plusieurs thématiques sont à l’honneur cette année : la musique classique, les arts plastiques, la littérature mais aussi la danse, notamment le Flamenco. L’art floral devrait également y trouver une place de choix. Plus que jamais, le festival se veut un lieu de création et de rencontre multiculturel.

En marge de cette présentation, le premier prix du Casting 2013 de Mai’li Mai’lo a été attribué à un jeune Namurois, Boris Prager. Ce jeune diplômé du conservatoire de Liège a reçu un bon d’une valeur de 1000 euros à valoir sur une formation dans le domaine audiovisuel. Ce prix lui a été remis par un jury réuni lors du dernier Festival du Film Européen à Virton.

Toutes nos félicitations à Stéphane Hérin ! Levé aux aurores, il a découvert les énigmes de cette chasse au trésor spéciale anniversaire du Blog de Saint-Hubert ! En direct par téléphone, c'est son épouse Christina qui a ainsi été la plus rapide a indiquer la réponse sur le blog !

Il s'agissait en effet de la porte latérale de la Basilique. Là était caché un petit sachet renfermant une photo avec un lieu à découvrir (la voie charretière), une fois trouvé, il fallait de nouveau s'y rendre et y chercher une petite boîte contenant un rébus :

"Ane - Hiver -Cerf" , anniversaire bien sûr !

Stéphane et sa famille remportent un bon d'une valeur de 50 € à la pizzéria-ristorante "Il Diablo" de Saint-Hubert offert par Fabian Henneaux. Nous lui souhaitons déjà une bonne dégustation !

Il pourra ainsi profiter des talents de Nizar El Hajjaoui, élu meilleur pizzaïolo de l'année en Province de Luxembourg !!!

La pizzéria est ouverte du lundi au jeudi de 12h à 14h30 et de 18h à 22h et du vendredi au dimanche de 12h à 15h et de 18h à 23h - Retrouvez plus d'infos et la carte sur http://www.ildiablo.be/index.html

Vous pouvez réserver votre table au 061/25.00.30