Il a marqué la mémoire de plusieurs générations de sportifs et de téléspectateurs. Arsène Vaillant, le bien nommé, gentleman des terrains de foot d’abord, du petit écran ensuite, nous a quitté discrètement le 30 avril 2007. Il fut l’une des icônes médiatiques d’une époque que les moins de 30 ans n’ont pas connue. Cette époque encore plus reculée où les joueurs du Sporting d’Anderlecht n’avaient même pas de contrat. «On jouait à la prime de match et on gagnait 300 francs belges par entraînement», racontait-il. «J’étais tout fier de disposer de deux tenues complètes. Je n’avais jamais vu cela.
Dans mon club précédent, le White Star, quand j’avais besoin de lacets pour mes chaussures de foot, je devais d’abord rendre les anciens». Ex-diable rouge, Arsène Vaillant fit aussi partie d’une équipe nationale qui écrasa les Hollandais par un cinglant 7-2! Impossible à imaginer aujourd’hui. C’était en 1950. Il y a une éternité... Avec sa plume, puis derrière son micro, il commenta des décennies de matchs de foot, de compétitions de ski et de patinage artistique et même sept Tours de France.
Bravo à Pierre, Dany et Emile qui ont très vite découvert le personnage de ce mercredi !
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