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Maxime Mottet, l’arme adroite

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Borquin.

Quand on planche sur la définition de ce curieux patronyme, sur le blog de la commune de Saint-Hubert, les définitions jouent à saute-mouton. On y parle de saucisson cuit à la vapeur. D’un hôtel qui fait face à la basilique. D’un nom de famille originaire de France. Avant d’avouer, en bout de course, qu’il s’agit aussi — surtout — du surnom des habitants de la commune, qui sont « fiers » d’être ainsi catalogués « malgré que les Borquins aient parfois une mauvaise réputation. » La raison ? « Leur caractère très ardennais. Plus têtu que ça, tu meurs ! »

Maxime Mottet se reconnaît tout à fait dans cette description. À 24 ans, il fait aujourd’hui partie des porte-drapeaux de sa cité, lui le « BC » (Borquin connu), ou plutôt « BDC » (Borquin désormais connu), sorti du bois en septembre dernier à la faveur d’une médaille de bronze brillamment décrochée aux Mondiaux de tir aux clays, à Lonato, en Italie, qui lui a ouvert la route des Jeux de Rio. « Je suis un peu brut de décoffrage, avoue-t-il. Ma devise, c’est celle des Chasseurs ardennais : “Résiste et mords”. Mais quand on me connaît, ça va. Je suis naturellement sociable ! »

Dans le salon attenant au cabinet d’avocat de son père, il s’amuse un peu de cette soudaine notoriété locale « juste bizarre ». « L’engouement suscité par mon résultat m’a très étonné, comme toutes les félicitations que j’ai reçues. J’essaie de comprendre. Je fais avec. »

Source : "Le Soir", cliquez ici pour lire la suite.

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