Photo Hachi's eyes - Photography

Ce 21 juillet 2015, à l’issue du Te Deum, les autorités communales se sont rendues à Arville pour inaugurer une stèle en mémoire des victimes civiles des bombardements du village en décembre 1944 et janvier 1945.

Le village était alors occupé par les troupes allemandes qui y avaient installé la Kommandantur.  Les américains n'ont pas tardé à viser particulièrement le bâtiment qu’elle occupait (immeuble Gatin). Malheureusement, des obus ont touché des maisons voisines.

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La Maison du Tourisme du Pays de Saint-Hubert recrute un(e) responsable touristique et administratif trilingue.
L’offre est en ligne sur le site du FOREM (référence : 1632553). Cliquez ici pour y accéder.

Les candidatures sont à envoyer pour le 8 août 2015 selon les modalités prévues dans l'offre.

Vous avez sans doute déjà entendu parler des plus beaux villages de Wallonie. Ils sont à peine vingt-quatre, dont cinq dans notre province (Nobressart, Ny, Sohier, Torgny et Weris). Il est vrai qu’il faut montrer plus que « patte blanche » pour en faire partie. C’est une commission technique très pointue qui trie, étudie et sélectionne les lauréats.

Beaucoup d’entres nous se posaient la question de savoir pourquoi Mirwart n’en faisait pas partie.
La réponse est simple : personne ne l’avait demandé jusqu’à présent.

Pourtant Mirwart dispose d’arguments convaincants en sa faveur : patrimoine historique, qualité de l’habitat, paysages exceptionnels…

Invités par le Collège, la population du village et ses seconds résidents ont répondu massivement à cette initiative. La petite salle du village était en effet archicomble pour la présentation du concept de « plus beau village de Wallonie » par deux représentants de l’ASBL qui gère ce label. Caroline Swennen de l’A.D.L. a assuré la coordination de la soirée. Le débat avec la population s’est avéré constructif et l’assemblée a décidé unanimement d’aller plus loin dans ce projet citoyen.

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C’est le Blog de Cap 2012 qui l’explique :

En vacances à l’étranger, le Bourgmestre Jean-Luc Henneaux continue à suivre de près l’actualité de la commune. Le contenu de l’article publié dans « L’Avenir » de ce vendredi l’oblige à réagir.

Il reconnaît que ce n’est pas facile pour les citoyens de comprendre ce qui ce passe à la basilique mais tient à rappeler que les décisions de fermeture puis réouverture partielle de la basilique n’ont pas été prises sans raison.

Chacun se souvient de la pierre qui s’est détachée pendant les fêtes de la chasse 2012 et a failli coûter la vie à un des sonneurs. Rien n’est plus sacré qu’une vie humaine et aucune manifestation, aussi prestigieuse qu’elle soit, ne peut justifier qu’on prenne le risque de la sacrifier.

C’est ce souci de la sécurité des personnes qui a été la toute première préoccupation de notre bourgmestre quand il a reçu le courrier de l’Institut du patrimoine wallon et qui l’a contraint à ordonner la fermeture provisoire de la basilique. Il n’en a pas pour autant oublié les échéances qui s’annonçaient comme le week-end de la rose et la saison touristique pour laquelle la basilique joue un rôle important. Il a dès lors tenu à mettre immédiatement tout en œuvre pour permettre une réouverture rapide et en toute sécurité de la basilique, tout au moins partiellement. Qui pourra lui reprocher d’avoir fait diligence puisque c’est à présent chose faite ?

Rappelons que la réunion du 25 juin s’est tenue en présence de deux agents de l’I.P.W., de représentants de la Région Wallonne, de responsables du chantier de la sécurisation du chœur de la Basilique, de l’ingénieur responsable du chantier, du doyen, du président de la fabrique d’église, de l’échevine du culte, de l’échevin des travaux et du bourgmestre.
Constat a été fait par tous les techniciens que les basses nefs et le déambulatoire présentaient des risques certains auxquels on ne pouvait pallier à court terme. Cependant, à l’issue de cette réunion, il a été décidé de prendre des mesures urgentes pour que la nef soit rouverte très rapidement, et ce après modification des points de fixage du filet.
Il a également été décidé que le chœur serait rouvert pour la fin du mois de juillet, après la pose du filet de protection.

En ce qui concerne l’étude globale, ce n’est pas en 2012, sous l’ancienne législature, mais bien en 2014, sous l’actuelle législature, que le dossier a été présenté devant le Conseil communal. En raison d’aspects administratifs liés notamment à la législation sur les marchés publics, celui-ci n’a pu être notifié que le 22 juin 2015.

Notons que la fragilité de la basilique n’est pas due spécifiquement à son âge mais aux pierres utilisées pour sa construction. Elles ne sont pas de qualité et contiennent des veines qui provoquent l’éclatement de la pierre, spécialement en raison des différences de température et de l’humidité ambiante en hiver. Le nombre de pierres enlevées suite aux travaux de sécurisation du chœur et de l’arcade y menant depuis la nef est impressionnant. La Basilique de Saint-Hubert n’est pas le seul édifice à présenter cette caractéristique mais la plupart des autres édifices qui la présentent sont chauffés.

Après avoir investi 190.000 € pour la sécurisation du chœur, 58.000 € pour des travaux supplémentaires, notamment sur des piliers et une arcade du transept, le Collège communal a notifié le 22 juin 2015 le marché de l’étude de l’état sanitaire de la basilique. Cette dernière va nous permettre d’enfin prioriser les travaux à réaliser. On ne peut tout faire tout de suite mais le Collège accorde une priorité importante à la rénovation de notre basilique. Il est regrettable que son action dans ce dossier soit sans cesse remise en cause ou déformée.