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  • Étudier au milieu des religieux à Orval ou Hurtebise...

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    Si l’on cherche du calme, les monastères, abbayes, carmels et autres prieurés sont résolument les endroits les plus indiqués. Depuis de nombreuses années, certains monastères répondent d’ailleurs à une importante demande en ouvrant leurs portes aux étudiants.

    En contrepartie, évidemment, les étudiants s’engagent à respecter certaines règles propres à la communauté religieuse en question. « Ce n’est pas évident, parce qu’en dehors des étudiants, il y a aussi d’autres personnes qui sont en retraite chez nous. Il faut donc pouvoir cohabiter », explique sœur Marie-Raphaëlle, qui se charge d’accueillir les étudiants qui passent leur blocus du monastère Notre-Dame d’Hurtebise (Saint-Hubert). « Nous essayons donc de nous limiter à 15-16 étudiants durant chaque blocus, même si j’ai du mal à refuser les gens… Ceux-ci suivent des règles de vie commune assez élémentaires : être à l’heure à table, respecter le silence du lieu, participer à la vie de la communauté, notamment en exécutant des tâches comme la vaisselle, rentrer avant les heures de fermeture, etc. » Cela ne semble pas déranger les étudiants qui se pressent, nombreux, aux portes du monastère. « Les étudiants entendent parler du monastère par le bouche-à-oreille », poursuit sœur Marie-Raphaëlle. « Ils trouvent souvent le site très beau. Quand ils arrivent, ils sont un peu timides, mais l’intégration finit par se faire. »

    Il est également possible de se retirer à l’abbaye d’Orval pour réaliser son blocus.

    Par contre, le prieuré Notre-Dame de la Paix à Libramont ne reçoit plus d’étudiants en blocus.

    Idem au Domaine des Pères à Clairefontaine (Arlon) où il est très rare qu’un étudiant soit encore accepté en été, le domaine étant fermé tout le mois d’août.

    À NOTER

  • Saint-Hubert, 4-5-6 septembre : journées internationales Chasse & Nature

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    Ces 4, 5 et 6 septembre 2015, à Saint-Hubert, capitale européenne de la chasse et de la nature, ce sont les 25e journées internationales Chasse et Nature.

    Le samedi 5 dès 15 heures, concours national d'imitation de brame : Pour la première fois en Belgique, venez défier les meilleurs « brameurs » belges et étrangers !

    Le dimanche 6 dès 10 heures, brocante d'objets "chasse et nature" : Vous possédez des objets liés à la nature, la chasse, la pêche ou au culte de Saint-Hubert ? Profitez de cette occasion pour vider votre grenier… ou élargir votre collection ! 1€ du mètre courant.

    Plus d'infos sur l'affiche ci-après, cliquez dessus pour l'agrandir ou sur le site du RSI.

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  • Concentration (2015) de vieux tracteurs au fourneau Saint-Michel : le reportage

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    Il y avait cette année quatre fois plus de tracteurs (une bonne soixantaine) pour cette deuxième concentration au Fourneau Saint-Michel.

    Voilà la vidéo et les photos.

    La vidéo

    Les photos (cliquez sur le diaporama pour accéder à l'album)

  • Awenne : VTT ce 15 août !

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    Ce 15/08/2015, les habitants d’Awenne et les membres du club MBT flamand Castori organisent ensemble

    Le  8ème tour VTT d’Awenne

    Les parcours sont de 28 -38 – 55 -72 km et traversent les magnifiques forêts de Saint Hubert.

    Le ravitaillement se fait à des endroits pittoresques et le dénivelé du parcours est respectivement de 900 m , 1200 m , 1800 m , 2200 m.

    Pour ceux qui veulent se promener, une agréable randonnée de 6 à 7 km est prévue.

    soyez les bienvenus ! 

    Info : Marcel Van Dyck Grand’rue 1 6870 Awenne

    084/345904     marcelmagda924@gmail.com

    Lien permanent Catégories : Sports
  • Saint-Hubert : la Basilique sera restaurée sur plusieurs années

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    basiliquesthubert2011.2.jpgLe député régional hottonais Philippe Courard s’est récemment inquiété de la fermeture temporaire de la Basilique de Saint-Hubert pour des raisons de sécurité. Ce dernier a demandé au ministre Prévot, en
    charge, notamment, du Patrimoine, s’il envisageait d’allouer des subsides pour permettre de lancer le plus rapidement possible les travaux nécessaires à la réhabilitation de la Basilique pour la rouvrir au grand public.

    La réponse est tombée ce jour. Pour le ministre régional, vu l’édifice et l’ampleur de la tâche, il est évident que ce dossier de restauration ne pourra s’élaborer très rapidement. Un cahier des charges a récemment été préparé par l’IPW (Institut du Patrimoine Wallon) pour la pose de filets dans la nef et dès lors, d’autres interventions ponctuelles auront encore lieu ces prochains mois.

    Toutefois, une restauration globale prendra plusieurs années. L’étude de restauration va démarrer par un relevé complet de l’édifice (intérieur/extérieur) et de toutes ses pathologies. Il reviendra aussi à la Ville de définir les moyens financiers qu’elle souhaite affecter à la restauration.

    L’édifice étant inscrit sur la liste du Patrimoine exceptionnel de Wallonie, il devrait bénéficier d’un taux élevé de maximum 85 % de subvention à la restauration. Le subside sera calculé sur base de l’estimation du coût des travaux en fin de procédure de certificat de patrimoine. Un tel dossier de restauration représentera plus que probablement plusieurs millions d’euros d’investissement.