La Basilique de Saint-Hubert est fermée !

Dans le porche, un arrêté communal daté de ce 24 juin 2015 interdit l'accès à cet édifice du 24 juin 2015 au 24 juillet 2015 pour travaux urgents de stabilité.

Mais alors, où va se dérouler le concert de l'orchestre Philarmonique Royal de Liège ?  Il devait avoir lieu en cette Basilique le samedi 4 juillet à 20 heures ?

Voilà ce que dit le blog de Cap 2012 à propos de la fermeture :

Par arrêté du 24 juin 2015 le Bourgmestre de Saint-Hubert, Jean-Luc HENNEAUX, a décidé de la fermeture de la basilique de Saint-Hubert pour une période d’un mois.  Cette décision fait suite à un courrier de l’Institut du Patrimoine Wallon du 22 juin 2015, adressé au Collège communal de Saint-Hubert, et faisant état de risques de problèmes structurels et de stabilité entre la croisée du transept et le chœur de la basilique.

 

A ce niveau, une seule des quatre arcades a été traitée.  Un nombre conséquent de pierres ont été enlevées et l’Institut du Patrimoine Wallon indique que « les trois autres arcades formant la croisée du transept ne présagent rien de meilleur ».  

 

Par ailleurs, l’I.P.W. indique également que « la problématique des pierres de la Basilique est générale et engendre des risques considérables pour la sécurité publique ».  Toutes les zones n’ont pas été traitées et/ou ne bénéficient pas de filets de protection.  Après s’être rendu sur place et s’être entretenu avec les responsables des travaux actuels et l’I.P.W.,  le Bourgmestre n’a donc pas eu d’autre solution que de fermer l’édifice avec effet immédiat.  M. le doyen Philippe GOOSSE a été prévenu.

 

Une réunion a d’ores et déjà été fixée le jeudi 25 juin avec tous les intervenants dans ce dossier avec pour objectif  de pouvoir ouvrir en toute sécurité une partie de la basilique.

 

Rappelons que la sécurisation du chœur de la basilique est en voie d’achèvement.  Ce marché porte sur l’enlèvement ou la consolidation des pierres situées dans cette partie de l’édifice.  C’est un investissement de 190.000 € subsidié à 95 % par la région wallonne.  Suite à divers constats concernant des piliers du transept il a été décidé de réaliser d’urgence des travaux complémentaires (en voie d’achèvement également) pour un montant de 58.000 €.  Les subsides ont été sollicités auprès de la Région Wallonne.  

 

Enfin, suite à un marché public, une étude globale de l’état sanitaire de la basilique a été commandée en date du 22 juin pour un montant de 60.500 € TVAC.  Attendue depuis de trop nombreuses années, cette étude va enfin identifier avec précision les problèmes de l’édifice et permettre de planifier dans les prochaines années les interventions nécessaires

Le 9 juin 2014, de violents orages se sont abattus sur notre pays. Plusieurs localités de la province ont subi des dégâts assez importants. C’était le cas notamment de Saint-Hubert ou Durbuy. Bonne nouvelle pour les personnes sinistrées : ces intempéries viennent d’être reconnues comme calamités publiques.

Le long week-end de Pentecôte de 2014 restera dans les annales pour beaucoup d’habitants du centre et du nord de la province. Le 9 juin, un violent orage éclate en différents endroits de la province. C’est la région de Saint-Hubert qui sera la plus touchée par les dégâts des bourrasques et des grêlons, que certains avaient décrits « aussi gros que des œufs ». On ne comptait plus les toitures bâchées, les caves inondées ou les arbres arrachés... Les communes concernées par ces intempéries avaient rentré un dossier pour que celles-ci soient reconnues comme calamités publiques. C’est désormais chose faite. Le 2 juin dernier, un arrêté royal reconnaissant 11 calamités fédérales, dont la grêle de début juin 2014, a été publié au Moniteur belge.

Il reste maintenant un peu moins de trois mois aux personnes concernées pour envoyer leur dossier. Celui-ci sera alors examiné par le gouverneur de la province, qui envoie un expert qui établit un constat des dégâts. L’indemnité est calculée ensuite sur base de ce constat. Une indemnité qui ne concerne toutefois pas les dégâts assurables via l’assurance-incendie. Clôture des dossiers le 31 juillet.

Dans la commune borquine, une petite centaine de dossiers sont rentrés. « Juste après les intempéries, nous avions déjà laissé la possibilité aux personnes sinistrées de rentrer un dossier. Mais peu de monde l’a fait à ce moment — là » commente le bourgmestre borquin Jean-Luc Henneaux. « Nous clôturons au niveau de la commune le 31 juillet prochain pour nous permettre de préparer les dossiers convenablement », ajoute-t-il. Seul bémol : si le Fonds des calamités intervient bien, on ne connaît pas le montant exact qui sera alloué par commune. Autant dire que les citoyens ne doivent pas s’attendre à une manne céleste, prévient-on déjà à la commune.

Dans la région de Saint-Hubert, les dégâts de ces intempéries sont encore visibles un an après. « Dans la commune, j’ai encore vu récemment des toits bâchés et des personnes qui circulaient avec des voitures bosselées. Certaines expertises ont été particulièrement longues et plusieurs personnes sont en conflit avec leur assureur », indique le bourgmestre, qui incite ses concitoyens à effectuer sans plus attendre les démarches nécessaires pour pouvoir bénéficier de cette indemnisation bienvenue.

Les habitants de Saint-Hubert qui souhaiteraient avoir des renseignements peuvent téléphoner au 061/26.09.88 ou écrire un mail à : andre.lotin@saint-hubert.be
Infos également sur : www.calamites.be

Lors d’une réunion importante entre le pouvoir subsidiant, l’O.N.E. et la Commune qui s’est tenue le 11 juin concernant le projet conjoint de maison médicale et de crèche, il s’est confirmé qu’un nouveau médecin va s’installer à Saint-Hubert.

Nous souhaitons d’ores et déjà la bienvenue au docteur Vincent LANGE qui devrait s’installer dans la commune dès le mois de juillet. Le docteur LANGE a longuement exercé à Paliseul avant de partir en Afrique dans le cadre de projets humanitaires.

Le choix du docteur LANGE de s’installer à Saint-Hubert est bien entendu lié à la pénurie de médecins que connaît la Commune et la région. Les informations qui ont circulé concernant cette pénurie et le projet de maison médicale, largement relayées dans la presse, ont certainement pesé dans son choix.

Bienvenue à lui !

Les élèves de 6e secondaire passent lundi et mardi les épreuves standardisées de français et d’histoire liées à l’octroi du Certificat d’enseignement secondaire supérieur. Or, certaines questions ont fuité et ont été partagées par les élèves sur les réseaux sociaux. 

Les semaines se suivent, mais le mystère de la disparition de Francisco Forget demeure entier. Cet homme de 46 ans n’a plus donné le moindre signe de vie depuis le 12 avril. Et les inquiétudes sont vives.  Ce jour-là, on le voit faire quelques courses au magasin Carrefour de St-Hubert. Il est environ 11 h et il emporte trois bouteilles d’alcool, des cigarettes. Sa compagne l’aperçoit remonter vers les ruelles du haut de la ville et puis… plus rien.

Un avis de recherche est lancé par la police fédérale, des battues menées. Mais en vain. Dès lors, ses proches vont prendre l’initiative de procéder à des fouilles. Donovan, le neveu de Francisco Forget, est à la base de cette initiative. À titre personnel, il cherche tous les jours. Dans un premier temps, une quinzaine de personnes vont battre la campagne dans les environs de Neufchâteau, d’où est originaire le disparu. Puis, de nouvelles recherches sont menées — toujours par des membres de la famille et des amis —, mais dans la région de St-Hubert. Sans résultat non plus. Et l’aide de voyants n’apporte guère plus.

Depuis lors, la famille continue à chercher. « La police a pour sa part décidé de suspendre les recherches tant qu’un nouvel élément n’apparaissait pas », explique Donovan à « La Meuse Luxembourg ». L’inquiétude est vive. Car au moment de disparaître, Francisco Forget n’allait pas bien. « Il était même dans un état dépressif », glisse un proche. Rudement éprouvé ces dernières années, il a aussi commis plusieurs tentatives de suicide. Plus jeune, il s’était jeté dans le lac à Neufchâteau. Voici un peu plus d’un an, c’est en s’enfermant dans un garage et en faisant tourner un moteur qu’il avait tenté d’en finir, avant de plonger dans un plan d’eau, à St-Hubert, durant l’hiver suivant.

À NOTER
FRANCISCO FORGET MESURE 1M75 ET EST DE CORPULENCE NORMALE. IL A LES CHEVEUX CHÂTAIN CLAIR COUPÉS COURT, PORTE UN TATOUAGE À L’AVANT-BRAS DROIT REPRÉSENTANT UN ENFANT. AU MOMENT DE SA DISPARITION IL PORTAIT UN PULL BLEU MARINE PORTANT LE SIGLE CHA, UNE VESTE BEIGE, UN PANTALON KAKI ET DES BASKETS NOIRES ET BLANCHES DE LA MARQUE PUMA.
TOUTES LES INFORMATIONS À SON SUJET PEUVENT ÊTRE COMMUNIQUÉES À LA POLICE AU 0800/30.300.

N. ld. - la Meuse Luxembourg du 13 juin 2015