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Le Blog de Saint-Hubert - Page 341

  • One pétite flôwe da Mimile Pètcheûr !

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     On  fameûs  djardinî.

     

    brussel_sprouts-chou_de_bruxelles.jpgAn mil noûv çant vint èt yonk, l’èstè avèt stî d’one sètchrèsse tèribe : po avèr du l’êwe, i falèt ‘nn’alè zè kèr al fontin.ne do ptit maçon al Sukaïre, ou bin o pousse dol brèssine Chlak k’èst asteûr dins lès côves du l’hôtèl Borquin a l’Abîye (çu pousse la  a dî sèt’ du profondeûr èt dupus deûs mètes du diamète) ou bin o batch do Fayîs ki d’nèt co on fiyèt d’êwe come mu ptit dègt èt k’èst  po pousse do Manêje.  On lumèt Manêje lu place dol Jandarmerîe d’asteûr pasku avant l’guère du  catôrze dîj ût’ lès jandarmes avint dès tchvôs k’is fint tournèr èt trotèr  tos lès djoûs so ç’place la.Dins lès tchamps èt dins lès cortis,  pus rin n’créchèt, bramin dès plantes èt dès dinréyes crèvint.

    Du ç’tins la, dupus dol mitan dès z’omes du Sint Yubèrt alint al prumîre mèsse lu dimagne a chîj eûres do matin. So l’tchapistrê,  is lijint lès afiches plakéyes so lès murs  èt î côzint intur z’ê an fumant one  « Boule Nationale » ou one « Bastos » avant d’intrèr.

    Louwis èstèt do dzeû dol roue do Mont, Alècsis èstèt do fin fond do Fayîs…èt vle ç’k’is s’duzint duvè l’Tossint : « T’as on bê corti, Alècsis ? » - « Bin, ça va co, dju n’mu plin nin ! » - « Nin mi sés’, dj’ê dès cabus nin pus gros ku m’pougne » - « O mi dj’ê dès cabus come dès tièsses du boû ! » - « T’as man.man, c’èst nin vrê ! » - « T’as ca vnu vèy dumwin an vnant a l’êwe o Fayîs. Dju t’è donrê deûs ».

    Lu londmwin, Louwis arive amon Alècsis,  ki n’èst nin la…lu fème èst tote seûle. "Alècsis m’a promis deûs cabus, dju vin lès kèr. »

    Catrine va lès kèr padrî, lès z’apwate  a Louwis an dzant : « Dj’ê tchwèzi lès deûs pus gros…mês,ç’t’anéye ci, is n’sont nin foû gros, i n’gn’a bramin dès ptits ».

    Lu dimagne d’après, sol tchapistrê : « Tu plès bin t’vantèr, valèt, avou tès cabus come dès tièsses du boû, is n’sont nin pus gros k’lès cis du m’vwèzin ! » - « Têsse tu Louwis, mu fème s’a trompè…èle t’a d’nèt deûs chous d’Brussèl ! ».

     

    Un peu d'aide ? brèssine = brasserie.  /  corti = jardin.  /  créchèr = grandir.  /  tchapistrê = narthex.  /  cabus = chou.  /  pougne = poing.  /  tièsse du boû = tête de bœuf.  /  t’as man.man = tu mens.  /  kèr = cherché. 

     

  • Gardes du week-end du 19 juillet

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    GARDE DES MEDECINS

    medecin.gifQuand ? Du vendredi 20h00 au lundi 08h00

    Où ? Poste médical de garde, Villa Servais, avenue d'Houffalize 35 à Libramont.

    N° d'appel ? 1733

    www.1733.be

     

    EN CAS D'URGENCE: 112

     

    SERVICE DE GARDE DES PHARMACIES

    Pharmacie HENNEAUX - Libin - rue du Commerce, 27 -  061/65.51.61

    Pharmacie DEBOR - Rue du Commerce, 42 - Marche-en-Famenne - 084/31.18.24

     

    CENTRE ANTI-POISON

    En cas d'empoisonnement, appelez le 070 245 245

     

  • La réponse au ki cé cé koi

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    Je vous laisse découvrir la bonne réponse à l'énigme de cette semaine, et c'est John, l'auteur, qui nous l'explique :

    "J'ai pris un écrou dans la première boîte, et je l'ai pesé : 9 grammes! Je l'ai remis dans sa boîte...
    Puis j'ai pris 2 écrous dans la 2e boîte, 3 écrous dans la 3e boîte, 4 dans la 4e, etc...
    J'ai pesé en une fois les 27 écrous, ça devait peser (2+3+4+5+6+7) = 27*9, soit 243 grammes...
    Si ça pesait plus, les mauvais écrous étaient dans la première boîte...
    Si ça pesait moins, les mauvais écrous étaient dans une des autres boîtes. Laquelle? Si la différence de poids était de 4 grammes, c'était dans la 2e, de 6 grammes dans la 3e, et ainsi de suite".
     
    Je laisse à John le soin de féliciter José, si sa démonstration était correcte, car votre blogueuse a eu un peu de mal à suivre les débats :-)
     
     A mercredi prochain pour un nouveau casse-tête !
  • Le Fourneau Saint-Michel s'anime ces 20 et 21 juillet !

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    sans-titre.pngA l’initiative du député Patrick Adam, le Domaine provincial du Fourneau Saint-Michel organise son évènement phare les « d’jins d’amon nos ôtes » les 20 et 21 juillet. Festival de vieux métiers étendus sur une surface de 40 ha, plus d’une soixantaine d’artisans prennent possession des lieux et donnent vie au site.

     Dès 09h30, et pour seulement 5 € l’entrée, vous pourrez  découvrir, un sabotier, un luthier, de la broderie, du tournage sur bois, de la vannerie, la fabrication de marionnettes liégeoises, … pendant que d’autres proposent leurs produits de bouche régionaux.

     Pour les plus jeunes, une fête foraine est installée dans le domaine. Des jeux de massacres aux anciennes balançoires, les plus petits plongeront dans une ambiance de fête d’antan pour un plaisir authentique.

     Les agents provinciaux démontreront leur savoir-faire unique en Wallonie comme la pose de torchis, la cuisson des cougnoux, des tartes et galettes au feu de bois ou encore l’incontournable cerclage de roue.   

     Les d’jins d’amon nos-ôtes, c’est aussi l’occasion de découvrir de nombreux artistes qui égayeront le site du Fourneau Saint-Michel. Durant toute la journée, des concerts, théâtre de marionnettes, danse folklorique, contes, … se relayeront pour vous faire voir le site sous un nouvel angle.

                Premier évènement créé en 1982 au Fourneau Saint-Michel, son succès n’a fait que croître au fil des années. L’année dernière, l’animation « les djins d’amon nos-ôtes » a réuni plus de 6.000 personnes sur les deux journées. Une réussite qui ne s’est jamais démentie.

    Infos au 084/21.08.90

  • Service réduit à la prison de St-Hubert: un gardien a été menacé de mort

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    1029710397_B973157499Z_1_20140715181342_000_G5I2QSR87_1-0.jpgLa semaine dernière, un gardien de la prison de Saint-Hubert a été menacé de mort par un détenu. Motif : le gardien avait refusé de donner une boîte de pois chiches au détenu. Par « peur d’un drame », les gardiens ont décidé de passer en service de nuit, c’est-à-dire de limiter les allées et venues des détenus. Ils appellent à une sélection plus pointue des détenus arrivant au centre de détention.

    Ce lundi, une assemblée générale a eu lieu au centre de détention de Saint-Hubert. Les syndicats y participaient en front commun. Il a principalement été question de la sélection des détenus qui arrivent au centre. En effet, pour les syndicats, certains détenus arrivés ces derniers mois au centre de détention, bien que répondant aux conditions fixées par la Justice, ne sont pas adaptés au centre semi-ouvert de Saint-Hubert.

    «La direction ne peut rien faire »

    Christian Knott, délégué CGSP, donne pour preuve l’événement survenu en fin de semaine dernière au sein du centre de détention. « Un collègue a été insulté et menacé de mort par un détenu », explique-t-il. « Et ce simplement parce qu’il avait refusé, à la cantine, de lui donner une boîte de pois chiches. Depuis cet événement, nous sommes passés en service de nuit. Cela signifie que les détenus restent quasiment tout le temps en cellule, au lieu d’aller et venir sur le site comme c’est le cas normalement. »

    Source Sudpresse