L’appétit vient en mangeant. En mars, Nizar El Hajjaoui espère devenir le « meilleur pizzaïolo » de Belgique.

Pour la deuxième année consécutive, Nizar El Hajjaoui, le pizzaïolo du restaurant « Il Diablo » de Saint-Hubert, a remporté le concours du meilleur pizzaïolo de la province ! Une belle performance, mais pas la seule au palmarès de ce cuistot d’exception, puisque Nizar a également terminé 31 e  sur 350 candidats au championnat du monde des pizzaïolos de Rome, en octobre dernier. Et qu’il a été sacré 5 e  meilleur pizzaïolo du Benelux en juin 2013, et 18 e  d’Europe. «  L’année passée a été une très bonne année  » commente tout simplement Nizar. Mais il ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. Le 17 mars prochain, il espère remporter le titre de meilleur pizzaïolo du pays au Championnat de Belgique à Gand. «  Les tests ont déjà été effectués. Mais on ne connaît pas encore les résultats, bien évidemment. J’ai bon espoir, cela dit. Je suis confiant  », confie-t-il.

L’arme secrète de Nizar ? La pizza du chef ! Voyez plutôt : une pizza à la sauce blanche, garnie de pancetta, de fines tranches de magret de canard et de foie gras. Rajoutez du parmesan et de la roquette, et vous avez devant vous la meilleure pizza de la province. «  Notre secret ? Nous misons beaucoup sur la qualité de nos produits. C’est cela qui fait la vraie différence. Depuis la crise, les gens vont moins au restaurant, alors il faut savoir sortir du lot  ». Évidemment, depuis que Nizar El Hajjaoui a été sacré meilleur pizzaïolo de la province et élu parmi les meilleurs de la profession à l’échelle du Benelux et de l’Europe, le restaurant « Il Diablo » de Saint-Hubert ne désemplit pas. «  Nous sommes parvenus à fidéliser notre clientèle, et je crois que le patron est content, c’est cela l’essentiel !  » s’amuse Nizar. Pour qui fabriquer des pizzas est plus qu’un métier : une véritable passion ! «  Pour moi, être pizzaïolo, ce n’est pas juste un travail comme un autre. C’est une passion. Faire des pizzas, c’est tout un art, et ce n’est pas donné à tout le monde. J’ai été à bonne école, avec un pizzaïolo italien très expérimenté qui m’a appris les ficelles : avoir du bon fromage, faire une bonne pâte, se servir du four à bois, etc. Et puis la chose sans quoi rien ne fonctionne : faire ça avec amour !  »

Source: lameuse.be

Rendez-vous les :

Samedi 1er mars, à 20h, à Vesqueville suivi d'une soirée à la Salle Notre-Dame (entrée gratuite) - organisation Club des jeunes

Vendredi 7 mars à Arville, animations pour les enfants à partir de 18h30 (maquillage, distribution de confettis) - départ du Club des jeunes à 20h15 pour la montée aux flambeaux - allumage du bûcher à 20h30

Samedi 22 mars à Hatrival, carnaval pour les enfants à partir de 14h au Club des Jeunes (venir déguisé) - allumage du grand feu à 20h - soirée au Club des jeunes

Le samedi 1er mars dès 19h :

souper choucroute (14€) et soirée disco 70-80-90 (gratuit) à l'Alix à Arville !

Réservez nombreuses et nombreux au 0495/88.07.72 ou au 061/31.25.31

Ambiance assurée !

Et depuis le 1er février, tous les premiers samedi de chaque mois, soirée karaoké à partir de 21h ! Entrée gratuite !

Ce vendredi 21 février, dans le cadre des Conférences de l'UTA, Marie-Thérèse et Serge MATHIEU viendront vous faire découvrir la Corse.

Les dieux auraient pu s’y installer en villégiature car la Corse est fille de la « mère » Méditerranée …  

Dans ce pays, rien n’est rationnel : ni le relief, ni le climat, ni les passions, ni les maisons accrochées à la montagne ou isolées dans le maquis, cette Corse profonde des fontaines au bord des routes, des cochons sauvages… Durant les longs hivers, on fabrique, loin de l’agitation estivale, la coppa, le figatellu et la farine de châtaigne… En été, l’insularité, le climat, la citadelle de Calvi, le village médiéval de Sartène, les sites préhistoriques de Filitosa constituent autant de facteurs d’attractivité de l’Ile de Beauté. 

Autre face de l’insularité, la Corse figure parmi les trois régions de France les plus faibles au niveau du PIB par habitant.

Rendez-vous à 15h au Palais Abbatial de Saint-Hubert

L’hiver particulièrement pluvieux que nous avons connu n’est pas sans conséquence pour les exploitants forestiers. Depuis quelques jours, certaines parcelles boisées sont interdites aux engins de débardage chez nous. Leur passage sur des sols détrempés aurait en effet des conséquences écologiques et économiques désastreuses. Pour certains, c’est là l’occasion de réutiliser le cheval de trait...

Les promeneurs occasionnels le savent : les chemins de terre qui sillonnent nos forêts sont parfois en piteux état après le passage des engins destinés à débarder et à sortir du bois les grumes fraîchement découpées.

Avec l’hiver particulièrement humide que nous avons connu cette année, la situation est d’autant plus critique. C’est pourquoi le DNF (Département Nature et Forêt) a décidé d’interdire l’accès des forêts aux engins d’exploitation. Les dégradations occasionnées aux chemins forestiers étaient en effet devenues trop importantes.

Une nécessité économique

« C’est une nécessité non seulement au point de vue écologique, mais aussi économique », nous explique un responsable du DNF. « Si on « casse » le sol, la forêt a des difficultés à se régénérer, et l’exploitation forestière en prend un coup. Il fallait donc prendre une décision. »

Cela dit, la mesure n’est ni générale, ni particulièrement exceptionnelle. « Il y a presque chaque année une suspension de l’exploitation mécanique », poursuit notre interlocuteur au DNF. « Mais les interdictions sont ciblées en fonction du type et de l’état du sol. Les suspensions sont par exemple plus courantes dans l’est du pays : les sols hydromorphes posent en effet plus de problèmes qu’ailleurs.»

Source: SUD PRESSE