Ils ne sont que quatre Belges à faire leur entrée dans les colonnes du Larousse, le dictionnaire de référence de la langue française.

Parmi eux, un Luxembourgeois : l’acteur Olivier Gourmet, originaire de Mirwart, dans la commune de Saint-Hubert. Il entre dans le dictionnaire en même temps que le Premier ministre Charles Michel, le chocolatier Pierre Marcolini et la mathématicienne Ingrid Daubechies.

L’acteur, que l’on a pu voir au cinéma notamment chez les frères Dardenne, Cédric Klapish, Bertrand Tavernier ou Costa-Gavras, passe beaucoup de temps sur les routes, mais continue d’habiter à Mirwart, où son épouse, Catherine Wells, tient deux gîtes.

On le trouvera donc désormais dans les pages entre le compositeur Henri Gounod et le peintre Francisco de Goya. Pas mal !

Mais Olivier Gourmet préfère pourtant la jouer profil bas.

Son épouse explique que « il est content, je pense ! Mais il n’est pas du genre à s’en vanter. C’est quelqu’un de très discret, simple et réservé ».

D’après elle, Olivier Gourmet n’était même pas au courant qu’il allait faire son entrée dans le dictionnaire.

« Je l’ai appris en même temps que vous, c’est un ami qui a vu cela sur le net. Je ne pense pas qu’Olivier était informé, sinon il m’en aurait parlé, tout de même ! C’est donc une surprise pour tout le monde. Cela dit, j’ignore sur quels critères se base le Larousse : pourquoi lui et pas un autre ? », s’étonne encore Catherine Wells.

Depuis le 14 mai, les championnats du monde de vol à voile colorent le ciel borquin de nombreux oiseaux étonnants. Une cinquantaine de professionnels du vol à voile, belges et étrangers, s’affrontent jusqu’au 25 mai. Mais pas seulement. Les visiteurs les plus téméraires peuvent également enfiler leur parachute pour un vol d’initiation.

Si les Luxembourgeois ont une ardeur d’avance, ils ne disposent malheureusement pas encore d’ailes. Par contre, le centre de vol à voile de St-Hubert offre la possibilité aux amateurs de sensations nouvelles, de se glisser dans la peau d’un oiseau le temps d’un vol en planeur. L’instructeur aide les curieux à enfiler un parachute avant de leur apprendre les consignes de sécurité. C’est un remorqueur qui vient ensuite s’arrimer au planeur pour l’emmener à 500 mètres d’altitude. Soit la hauteur idéale afin de laisser sa liberté à l’engin dépourvu de moteur. « Ce sont les courants ascendants qui maintiennent le planeur en vol. Lorsque nous en attrapons un, nous pouvons monter de 4m/seconde et prendre ainsi 200 m d’altitude très rapidement », explique Michel Pihard, administrateur délégué du centre de St-Hubert. Durant une heure, vous aurez alors tout le loisir d’observer les villages et forêts qui jouxtent l’aérodrome, sans le bruit du moteur inhérent aux ULM et autres avions. Une parenthèse enchantée qui est accessible d’avril à octobre, en fonction de la météo. Les vols découverte sont à 65€ durant la période du championnat (du 14 au 25 mai). En dehors de cette période, ceux-ci sont à 80€ pour les +25 ans et 70€ pour les -25 ans. Venez tenter cette expérience extraordinaire.

Si toutefois vous souffrez du mal de l’air, il vous est possible jusqu’au 25 mai, d’assister depuis la terre ferme, aux Open BeNeLux de vol à voile qui se déroulent à St-Hubert.

Chaque jour, une cinquantaine de concurrents s’élancent à l’assaut des nuages afin d’être le plus rapide à gagner trois zones précises et ensuite rentrer à l’aérodrome. « C’est un véritable ballet aérien lorsque les planeurs décollent par groupe de six, les uns à la suite des autres. C’est un spectacle à voir », assure Michel Pihard.

Il vous reste quelques jours pour profiter du spectacle. Vous trouverez tous les renseignements sur le site : www.cnvv.be.

Merci à Robert Colle, responsable du blog de Marche-en-Famenne, pour ses photos.

Tournoi de sixte organisé par le RSC Nassogne ce lundi 25 mai à Nassogne.

Pour plus de renseignements : 0475/82.35.82

Soirée théâtre à l’Institut Centre Ardenne Section fondamentale de Saint-Hubert :

« Les maladies imaginaires », pièce originale inspirée de la pièce « Le malade imaginaire » de Molière, jouée par les élèves dans le cadre du projet « Les planches à l’école »

Entrée gratuite – Bar – Pain-saucisse – Tombola

Vendredi 5 juin 2015 dès 18 h

Informations : 0477/137 357

On est toujours sans nouvelles de Francisco Forget depuis le 12 avril. Hier matin, des proches au disparu s’étaient donné rendez-vous à Saint-Hubert, pour effectuer des recherches.

C’est à rue de la Teinture qu’il a été vu pour la dernière fois. Depuis, il ne s’est plus manifesté. « Aujourd’hui, nous ne savons plus où chercher », témoignait hier Ingrid Servais, son ex-compagne et mère de son enfant. « Il y a de quoi être inquiet. Avant le 12 avril, je recevais encore parfois un SMS de lui, par lesquels il prenait des nouvelles de son enfant, depuis plus rien. On est à la recherche du moindre petit témoignage qui permettrait de nous mettre sur une piste. » Selon son ex-compagne, il avait quitté son travail à la clinique de Libramont, le vendredi avant le dimanche de sa disparition, en précisant qu’il ne serait pas là le mardi. Il devait effectivement assister à une audience au tribunal concernant la garde de leur enfant. « Il n’y est jamais venu. »

Francisco Forget a vécu pendant plus de 20 ans à Neufchâteau, où il a longtemps été pompier. Il était connu dans la cité chestrolaise pour y distribuer les petits journaux. « Depuis qu’il avait déménagé avec sa nouvelle compagne à Saint-Hubert, il vivait de manière plus isolée », précise son ex-compagne. Ingrid Servais souhaite relancer un appel à témoins. Pour rappel, Monsieur Forget, 46
ans, mesure 1m75 et est de corpulence normale. Il a les cheveux châtains. Il porte un tatouage à l’avant-bras droit représentant un enfant. Tout renseignement peut être communiqué à la police via le numéro gratuit 0800 30 300.