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  • Les incendiaires du chalet de l’ancien bourgmestre borquin Constant Leclère devant le tribunal correctionnel de Neufchâteau !

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    Une « épopée délirante ». L’expression a été utilisée, jeudi devant le tribunal correctionnel de Neufchâteau, par la substitut du procureur du roi, Marie-Eve Bouillon, pour les faits dont doivent répondre un jeune de 20 ans, de la région de Saint-Hubert, Nicolas, et le beau-père de sa copine, Fabrice, âgé lui de 50 ans.

    Dans la nuit du 5 au 6 septembre dernier, ils ont cambriolé deux chalets utilisés comme seconde résidence, à Bure (Tellin) et à Awenne (Saint-Hubert). Dans le premier, des chandeliers ou une horloge ont été volés tandis que du matériel informatique a été dérobé dans l’autre.

    Mais plus grave, avant de quitter les lieux, Nicolas a bouté le feu aux chalets et les dégâts avaient été très importants. Des actes de malveillance sous influence de l’alcool. Le duo sera intercepté peu après, leur voiture avait été repérée.

    Depuis, ils sont sous mandat d’arrêt. Un lien a été fait avec un autre incendie survenu dans la nuit du 21 au 22 juillet dernier, au chemin de Palogne à Saint-Hubert. Un chalet qui avait appartenu à l’ancien bourgmestre borquin Constant Leclere avait été entièrement ravagé par les flammes. Un poêle à bois et un barbecue y avaient été volés. Le préjudice est très sentimental, car les proches de l’ancien propriétaire décédé continuaient à l’entretenir. « C’est tout ce qu’il nous restait de nos grands-parents, nous y étions très attachés », a confié, émue, l’une de ses petites filles au tribunal.

    Le but des vols était au départ de dérober des objets pour essayer de les revendre.

    Le plus jeune a toutefois franchi une autre limite. « On rentre, on détruit, on vandalise, mais ces gaillards auraient pu aussi semer la mort », a lui déploré, Me Joël Baudouin, avocat d’une autre partie civile.

    Pour la substitut Bouillon, les deux prévenus sont tout autant coupables pour les incendies puisque, selon sa lecture, l’aîné n’a rien fait pour empêcher l’autre de bouter le feu.

    Une peine de prison de 36 mois est réclamée contre le beau-père et de 48 mois contre Nicolas. Car celui-ci est aussi poursuivi pour d’autres vols avec effraction dans la région de Saint-Hubert, de même que pour le vol de la carte bancaire de son oncle (en compagnie de sa sœur contre qui 4 mois sont réclamés par défaut). Assurant la défense du duo, Me Marc Kauten n’a pas minimisé la gravité des faits. Mais, il a toutefois demandé que le tribunal écarte tout ce qui concerne les incendies pour Fabrice. Le sursis pour ce qui excède la préventive est sollicité pour chacun des prévenus.

    Jugement le 7 janvier.

    La Meuse Luxembourg du 4/12/2015

  • Que faisiez-vous le vendredi 14 juillet 1989 ? Avez-vous une anecdote ?

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    Que faisiez-vous le vendredi 14  juillet 1989 ? Avez-vous une anecdote ?

    Une catastrophe a été évitée de justesse le vendredi 14 juillet 1989 vers 10 h 45

    12303968_753404218093237_4287014926306683442_o.jpgUn F-16 biplace FB 06 est tombé au lieu-dit : « Le Chenet » à 20 m de la N89, à 500 du HOME HERMAN, à 100 m d’une habitation, et a moins d’un kilomètre du centre de la ville.

    Le pilote, le major Gommaire VAN BENEDEN et le copilote, le sous-lieutenant Dirk CRUPELANDT ont réussi à s’éjecter et ont atterri sans accroc dans les environs proches.

    Le Major VAN BENEDEN s’était déjà éjecté d’un F-16 le 19 août 1986 à Ferrière La Petite près de MAUBEUGE dans le département du Nord en France

    DSC06073 (2).JPGL’appareil de l’escadrille 350 du 1er Wing avait décollé de BEAUVECHAIN, il participait avec un autre avion à un exercice d’interception. 

    Pour une raison inconnue, il est soudain tombé en piqué, d’une hauteur estimée à 8000 m. Il s’est pratiquement enterré dans le sol. On a retrouvé l’un des sièges a proximités des débris, l’autre se trouvait à environ un kilomètre de là, près de la gendarmerie (maintenant le CPAS). La visière de l’appareil a été retrouvée également à cet endroit.

    F-16 FB 06.jpgLa photo du F-16 FB-06 est Daniel Brackx
    (B-06 c/n 6J-6 Fiscal Year : 78-0167 Line-nr SABCA : B-022)

    Les photos sur place sont du journal « l’Avenir du Luxembourg » du 14 juillet 1989.  Cliquez dessus pour les agrandir

    Un article de Stéphane Hérin, merci à lui !

  • Marché de Noël de Arville : il reste des places disponibles pour les artisans !

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    Ce 19 décembre 2015, marché de Noël à Arville.

    l'ASBL "Nos Viadje" me signale qu'il reste des places disponibles pour les artisans.  Ils peuvent s'inscrire gratuitement en contactant Marianne au 0497/33.74.25 ou via la page Facebook de l'association.

  • Conférence de l’UTA ce vendredi 4 décembre : « Nombre d’Or, nombre d’art »

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    L’UTA de Saint-Hubert vous propose ce vendredi 4 décembre 2015 à 15 h au Palais Abbatial une conférence sur le thème « Nombre d’Or, nombre d’art » par Jean KOKELBERG.

    Il préside au tracé de certaines figures géométriques mais aussi, plus secrètement, à la croissance des renoncules et des choux-fleurs, à l’édification des pyramides, des temples grecs et des églises médiévales. De quoi s’agit-il ? Du fameux "nombre d’or", bien sûr. Il n’est peut-être pas le seul créateur de beauté mais s’il nous proportionne, nous ne serons jamais difformes…

    On voit ce nombre partout : dans la philosophie, la spiritualité, l'art, l'économie et... dans les mathématiques. A vrai dire, les mathématiciens professionnels sont un peu agacés par la popularité de "leur" nombre d'or ; ce sont eux qui l'ont découvert (ou inventé ?). Ce nombre au nom un peu magique contiendrait-il les clés secrètes d'une harmonie universelle?

    Monsieur Jean Kokelberg, licencié-agrégé en philologie romane, nous fera voir en images les ponts qui relient la mathématique à l'ordre de la nature et à l'esthétique.

  • Saint-Hubert : Retrouvailles des Rhétos de la promotion 1975 de l’Institut Saint-Joseph

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    Au premier rang (de g. à dr.) : André Dabe, Dominique Dubois, Francis Picard

    Au second rang : Maryline Hody, Mady Lambert, Nadine Noiret et Chantal Hesbois

    Au troisième rang : Rita Pinson, Joëlle Hamtiaux

    Au quatrième rang : Alfred Collignon, Danièle Martin, Marie-Paule Pièrard, Nelly Louvigny et Yvon Folie

    Au cinquième rang : Raymond Jacquemin, Jean-Louis Ducamp, Richard Bourcy

    Dernier rang  : Francis Bilas (En médaillon), Alain Tuaux (ancien du technique) Jean-Luc Walewyns, Benoît Henneaux, Luc Brassel, Jacques Gatin, Marc Bodson, Marie-Christine Smeyers et Anie Sternotte.