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  • Ki cé cé où ?

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    Afin de vous faire visiter Saint-Hubert et ses villages, je vous propose une visite supplémentaire. Je vous invite à essayer de localiser le lieu concerné. Il vous est possible de faire des propositions à l'aide de la rubrique "commentaires".

    Cette semaine !!

     

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  • Le public était à l'affût ce jeudi soir au Palais Abbatial !

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    Il a beaucoup été question de chasse ce jeudi soir au Palais Abbatial, on a même pu y entendre sonner les Cors du Royal Forêt Saint-Hubert.

    En effet, organisée par la Bibliothèque provinciale de Marche-en-Famenne en partenariat avec la Bibliothèque locale de Saint-Hubert  , c'était la présentation de la réédition du livre de Michèle Lenoble-Pinson, "Dictionnaire de termes de chasse passés dans la langue courante - Poil et plume".

    mlp.pngMichèle Lenoble-Pinson, docteur en philosophie et lettres et professeur émérite à l'Université Saint-Louis de Paris, est originaire de Libramont. En 1978, elle reçoit le Prix Plantin Moretus pour "Le langage de la chasse" et en 1991, le Prix Langue et Littérature de la Fondation Charles Plisnier pour "Poil et Plume".

     

    Alors, comme l'a souligné Patrick Adam, Député à la Culture, "avons-nous fait coup double ou doublé en recevant en même temps Michèle Lenoble-Pinson et Jean Pruvost au Palais Abbatial" ?

    IMG_2477.JPGPatrick Adam qui présente Jean Pruvost comme un bizarre, un drôle d'oiseau, un maniaque des dictionnaires, qui en possède d'ailleurs pas loin de 15.000 exemplaires. Directeur éditorial de la Maison d'édition Champion, il a eu la bonne idée de rééditer l'ouvrage de Michèle Lenoble-Pinson !

    Le Député recommande également la lecture de la réinterpertation poignante de la légende de Saint-Hubert, intitulée "Le Miracle de Saint-Hubert" de Mme Lenoble-Pinson.

    Rentrer bredouille, avoir du plomb dans l'aile, lever un lièvre, sortir du bois, être aux abois...On connaît tous ces expressions et on les utilise couramment en ignorant leur provenance: la chasse !

    Avec une préface de Jean Pruvost, ce dictionnaire au format de livre de poche, est le livre idéal à s'offrir ou à offrir en cette période automnale...et de chasse !

    dicochasse.jpg

    photo site Patrick Adam

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    terme-de-chasse.jpg

    Photo site Patrick Adam

    Retrouvez l'intégralité du discours de Patrick Adam sur

    http://patrick-adam.com/2013/11/22/conference-reedition-du-livre-dictionnaire-et-termes-de-chasse/

     

  • Nouveauté sur le blog de Saint-Hubert

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    A partir de ce samedi, et tous les quinze jours, vous pourrez découvrir les publications "Impressions d'Ardenne" !

    "Impressions d'Ardenne", cela vous dit sans doute quelque chose... Publiées pendant 10 ans dans le "Passe-Partout", ces photos de Jean-Louis Brocart traduisent l'ambiance particulière de nos belles contrées par des paysages, des portraits, des métiers, des coutumes et sont commentées en wallon par Jean-Pierre Servais, célèbre professeur de français, borquin.

    Depuis 1983, Jean-Louis Brocart parcourt l'Ardenne, et surtout le coin de Saint-Hubert, l'oeil en coin. Adepte d'Edmond Dauchot, photographe autodidacte, il réalise des portraits, des paysages, photographie notre patrimoine et ses coutumes.

    En 2003, il fait découvrir son travail à Jean-Pierre Servais, qu'il a eu comme professeur de français et dont il connaît toutes les pièces de théâtre. Il lui soumet quelques photos pour qu'il y place des commentaires en wallon et, bingo !  Jean-Pierre se prête au jeu, avec plaisir et délectation, et démarre ainsi "Impressions d'Ardenne".

    Leur principe ? Jean-Louis propose les photos et Jean-Pierre lui soumet plusieurs légendes parmi lesquelles il peut faire son choix... Et Jean-Pierre lui dit souvent qu'il n'aurait pas choisi celle-là ! Alors, son épouse, Hélène, lui répond "n'en fait pas autant alors !". Ce manège dure depuis 10 ans...

    Pendant 10 ans, cette chronique paraîtra dans les petits journaux et un premier livre sera publié en 2007, suivi d'un second en 2009. Actuellement, les deux comparses cherchent un éditeur pour un troisième volume.

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  • Libramont: Alain Lepée a toujours la garde de ses enfants, son ex-femme témoigne

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    838083835_B971449236Z.1_20131120204710_000_GUJ1HR0L6.1-0.jpgNous avons rencontré l’ex-épouse d’Alain Lepée, inculpé de recel de cadavre et de vol de voiture en lien avec le meurtre de Hugues Henneaux en mai dernier à Libramont. Elle nous a expliqué les violences graves qu’elle a subies durant plusieurs années et sa peur de laisser ses enfants, une semaine sur deux, chez son ex-mari. Un récit sidérant.

    C’est une dame à bout de nerfs que nous avons rencontrée cette semaine. Une dame qui, depuis le 15 décembre 2012, date de sa séparation avec Alain Lepée, subit les assauts répétés de son ex-mari. « Nous nous sommes rencontrés via internet en 2006 », explique-t-elle. «  Étant Française d’origine, on a commencé par se fréquenter à distance. Ce n’est qu’en 2007 que je me suis installée avec lui, à Libin. Nous avons eu un premier enfant, et les choses se sont alors considérablement gâtées. Il me trompait, était violent, et j’ai commencé à me dire qu’il fallait que je le quitte. »

    Une volonté claire et répétée qu’Alain Lepée refuse pourtant d’entendre. « Pour éviter que je reparte en France avec les enfants, il nous séquestrait dans la maison. Il m’a étranglée à deux reprises, une fois jusqu’à l’évanouissement. C’est ma fille qui m’a réveillée. Une autre fois, il m’a écrasé la tête entre une porte et un mur en briques. J’ai eu beau hurler, personne n’est venu. »

    Finalement, après la naissance d’un deuxième enfant et un mariage, l’ex-épouse d’Alain Lepée est « libérée » grâce à l’intervention de la police. « Il me tenait avec un couteau dans notre cuisine », poursuit-elle.« Ma fille a appelé la police et j’ai pu le quitter. Mais je n’avais rien d’autre qu’une voiture. Même pas de quoi habiller les enfants. C’était le 15 décembre 2012. Sans l’aide de Benoît Lutgen, le bourgmestre de Bastogne, qui m’a trouvé un logement d’urgence, je me serais vraiment retrouvée à la rue avec mes enfants. »

    Le calvaire de cette maman n’était toutefois pas terminé. « Le divorce a rapidement été prononcé. J’avais pris les devants. Mais il avait obtenu la garde des enfants un week-end sur deux. Cela alors qu’il m’avait dit qu’il se jetterait un jour dans un ravin avec eux, ou encore qu’il allait me tuer ou tuer mon nouveau compagnon… Nous avons d’ailleurs porté plainte car il a tenté d’écraser mon nouveau compagnon devant chez moi. J’ai très peur. Même si je risque gros, je ne laisserai pas mes enfants aller chez lui lors du prochain week-end. »

    Alain Lepée a également informé son ex-épouse, quelques jours après le meurtre de Hugues Henneaux, qu’il avait quelque chose à voir dans cette affaire. « J’ai demandé à le rencontrer car il avait dit à notre fille qu’il ne la reverrait peut-être plus avant très longtemps. Sans que je sorte de ma voiture, il m’a alors dit qu’il avait accompagné un ami chez un garagiste, et qu’il s’était passé quelque chose. Quand je lui ai demandé s’il l’avait tué, il s’est contenté de me faire un grand sourire ironique en regardant mon compagnon, qui m’avait accompagnée. »

    Avec insistance, l’ex-épouse demande donc aux autorités compétentes de faire le nécessaire pour protéger ses enfants.

    « Je ne peux pas empêcher ma fille d’aimer son père. Mais je ne veux pas attendre qu’il se passe un drame pour voir les choses changer. Ce qui m’écœure, c’est que les services sociaux concluent que c’est un père attentif et aimant, alors qu’ils n’ont même pas fait de visite à son domicile. Il a un casier long comme le bras avec des faits de drogue, vols qualifiés, attentats à la pudeur… Et en privé, il ne s’occupait de rien. Sa principale occupation, c’était de regarder des vidéos pornographiques. Je le connais, il est extrêmement manipulateur et pourrait convaincre n’importe qui. La preuve : il est toujours en liberté alors qu’il a clairement un rapport avec ce meurtre…  »

    Source SUDPRESSE

     

     

  • Saint-Hubert: l'aérodrome, soutenu par la Région wallonne, est sauvé

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    1673357904_B971462670Z.1_20131122165214_000_GSA1I4PMD.1-0.jpgIdélux avait annoncé son intention de se retirer de la gestion de l’aérodrome de Saint-Hubert à la date du 31 décembre prochain. Le temps pressait donc. Et le Parlement Wallon a finalement marqué son soutien au dossier, ce qui garanti la poursuite des activités de l’aérodrome.

    Une conférence de presse avait lieu ce vendredi en début d’après-midi à l’hôtel de ville de Neufchâteau, afin d’annoncer la bonne nouvelle. Le Député-Bourgmestre chestrolais, Dimitri Fourny, a en effet pesé de tout son poids dans le soutien finalement apporté par la Région Wallonne. Seul bémol : seuls cinq emplois seront conservés sur les neuf existants actuellement.

    Plus d’informations dans La Meuse Luxembourg de ce samedi 23 novembre et sur le blog de Saint-Hubert !